Manchette : Les 2 et 3 avril derniers, à Trois-Rivières, avait lieu le dernier tournoi de la saison pour nos Électriks basketball.
Nouvelle : Après un départ très matinal pour la plupart des familles des joueurs des Électriks et une courte période d’entraînement, le premier match a débuté à 9h00 le samedi matin à Trois-Rivières. Les Électriks affrontaient les Astéries de Victoriaville. Nos joueurs ont offert une performance sans faille, dominant le jeu tout au long de la partie. Cette dernière s’est terminée avec un pointage de 43 à 10 en faveur de nos Électriks!
À la suite d’un bon dîner au restaurant et d’une bonne période de repos (baignade pour certains), la deuxième partie a débuté à 15h30. Le niveau de jeu a considérablement augmenté, car l’équipe qu’affrontaient les Électriks était l’EMBQ 1 (de niveau AA). Rappelons que les Électriks sont de niveau CC. Après des débuts hasardeux et un ajustement de la part de nos joueurs, ceux-ci ont déployé une solide défensive. L’énergie et la volonté étaient présentes et ils n’ont jamais baissé les bras. Ils ont marqué 26 points, contre 65 pour l’EMBQ 1.
Une nuit à l’hôtel et un petit-déjeuner plus tard, nos Électriks étaient de retour au gymnase pour affronter une autre équipe de l’EMBQ (EMBQ 2), également de niveau AA. Emmanuel Demers, un joueur de notre équipe qui performe également avec l’EMBQ 2, a choisi de rester avec les Électriks pour disputer le match de cette finale de consolation.
Nos joueurs ont offert une prestation exceptionnelle, enchaînant des échappées et des jeux de passes spectaculaires, ainsi que des jeux défensifs efficaces. Les encouragements enthousiastes de la part des familles des jeunes joueurs leur ont «fouetté les sangs». Ils se sont battus jusqu’à la fin, allant même jusqu’à dominer la seconde demie (19 à 15 au pointage), pour finalement s’incliner par la marque de 47 à 33. Tout un match pour nos Électriks!
Félicitations à nos joueurs et à Karolane Alain-Gagnon, qui vivait son dernier match avec l’équipe de l’école de L’Accueil.
Texte rédigé par Natalie Gagnon